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Luanda, la capitale de l’Angola, est la ville la plus chère du monde pour les expatriés, plus que Tokyo, Moscou, Londres ou New York, selon le classement 2014 du cabinet d’études américain Mercer. Les prix flambent dans toutes les villes où coule de l’or noir : Ndjamena, Libreville et Lagos, mais les pétrodollars n’expliquent pas tout. Dix villes africaines, parmi lesquelles Bamako, Conakry et Dakar figurent aussi parmi les 50 villes les plus chères du monde.
En Angola, comme ailleurs sur le continent africain, les religions sont très dynamiques. Mais dans ce pays d'Afrique australe, une autre organisation de la société civile est aussi très développée : le scoutisme. Mouvement associatif œcuménique, il réunit des compagnies catholiques, kimbanguistes, évangéliques et anglicanes. Il compte aujourd'hui près de 24 000 membres.
En mars 2014, Paul Morris a publié "retour en Angola - voyage de la guerre à la paix". Cet ex soldat sud-africain a pris part à la guerre civile en Angola en 1987, et est retourné sur place en 2012, à vélo, à la rencontre d'un pays qu'il n'a connu que pendant les affrontements.
300 mètres de long, 60 de large, haut comme cinq Tour Eiffel. Au large de Luanda, la capitale de l’Angola, se dresse Dalia, l’une des plus grandes plates formes pétrolières au monde. A son bord des hommes de dix nationalités différentes et une seule femme. Catherine, une ingénieure française. Un mois de travail intensif en pleine mer contre un mois de vacances en famille…. Comment ces « aventuriers de l’or noir » vivent-ils leur double vie ? (Reportage datant de 2011).
Les reporters retournent dans les pays qui ont marqué l’actualité. Comment vit-on dans les villes traumatisées par une guerre, une catastrophe naturelle ou un désastre industriel ?... Un dimanche sur deux, à 20h40 sur France 24.
À Luanda, les bâtiments vétustes ont laissé place aux gratte-ciels flambant neufs. Depuis la fin de la guerre civile, en 2002, la capitale angolaise est méconnaissable. Elle est aujourd’hui l’une des villes les plus chères au monde. Pourtant, dans les bidonvilles, la moitié de la population vit dans la pauvreté. Notre correspondante s'est rendue sur place. (Reportage datant de février 2014).
Pour fuir la crise et trouver un emploi, près de 150 000 Portugais ont quitté leur pays l’an dernier. C’est la plus forte vague d’émigration depuis les années soixante-dix.
Nous avons suivi un couple de jeunes Portugais et leur fils au moment de leur départ. Comme des milliers de leurs compatriotes, ils ont choisi de s’installer en Angola, un pays qui connaît un boom économique sans précédent. Comment se passe la vie en exil ? Et pour ceux qui restent au Portugal, comment font-ils face à la crise économique ? (Reportage datant de 2013).
Au milieu de cette rencontre surprenante, un couple à la tête d’un orphelinat, tout deux passionnés de musique. Dans le jeune couple, parents d’adoption des enfants de leur orphelinat, l’une écoute Coldplay pendant que l’autre joue de la guitare acoustique tout en growlant. Point commun? La passion de la guitare. Pas de lutte entre les styles, seul compte la passion pour cet instrument.
Plus qu’un documentaire sur un style de musique occidental dans un pays exotique, Death metal Angola raconte la lutte continue de passionnés pour monter un festival afin de faire jouer des groupes locaux, faire connaitre le rock et leur musique, mais surtout créer un événement culturel dans un pays qui en manque cruellement. Chacune des personnalités interrogés amène sa part de trauma mais on trouve un sourire sur chaque visage au sein de ce collectif engagé et énergique. Bien plus classique dans la forme, Death metal Angola raconte comment on peut triompher de l’horreur et vouloir vivre après avoir été entouré par les cadavres et la destruction. Un très beau documentaire sur la passion pour la musique, extrême ou non. On y parle de death metal, de rock, de musique, de l’histoire de l’Angola. Bref, on y parle de la vie.
Là encore on ne parle pas des origines du death metal, ou si peu, mais de sa réappropriation par de jeunes angolais, tous participant au premier festival de rock du pays.
L’Angola est un pays en pleine mutation. En proie à la guerre civile pendant des décennies, cet état africain situé sur la façade atlantique connaît aujourd'hui un essor économique… qui ne profite pas à tout le monde. Alors qu’à Luanda, la capitale, l’extraction pétrolière massive provoque une explosion astronomique des prix, alimentant ainsi un développement économique d’une ampleur inconnue jusqu’alors, les régions rurales restent enclavées. Mais les choses devraient changer : les Angolais vivant en dehors de la capitale espèrent que la réouverture de l’ancienne ligne ferroviaire de Benguela leur permettra de profiter du commerce et d’avoir une vie meilleure. 360°- GEO a traversé l’Angola aux côtés du mécanicien Joaquim Mohebe sur sa locomotive à vapeur remise en état.
Joaquim Mohebe est inspecteur de la ligne ferroviaire de Benguela depuis plus de 50 ans, il voue un attachement sans bornes à l’ancienne voie ferrée. Mais le trafic est interrompu depuis que toutes les locomotives ont brûlé pendant les années 1980 et la guerre civile. Des trains et des wagons délabrés, un réseau ferroviaire laissé totalement à l’abandon, une pénurie chronique de pièces de rechange – tout cela devrait enfin appartenir au passé. L’ancien plus grand employeur et principal moyen de transport sur les hauts plateaux du Huambo va renaître à la vie. La construction de la ligne avait débuté en 1903. Sur une longueur de 1 300 kilomètres, elle reliait la côte atlantique à la frontière de la République démocratique du Congo. De là partaient des embranchements jusqu’à la côte de l’océan Indien et Dar Es Salam, en Tanzanie. Le haut plateau angolais est l’une des régions les plus fertiles d’Afrique. Mais, pendant la guerre, les paysans en ont été chassés et leurs villages ravagés. Les habitants ont souffert d’une épouvantable famine. Aujourd'hui encore, de 60 à 70 % des denrées alimentaires doivent être importées. Travailler pour la voie ferrée de Benguela faisait toute la fierté de Joaquim – et il ne souhaite rien plus ardemment que de voir le train de nouveau circuler un jour d’une extrémité à l’autre de cette ligne. 360°- GEO a embarqué sur la locomotive en route pour un avenir meilleur. (Reportage datant d'avril 2013).
Le pays est connu pour être le deuxième producteur de pétrole du continent africain. Mais l’Angola est aussi riche en minerais, et notamment en diamants.
Aujourd’hui cinquième producteur mondial – derrière le Bostwana, la Russie, le Canada et l’Afrique du Sud –, il voudrait bien développer davantage cette activité.
D’autant que le territoire pourrait encore cacher de nouveaux gisements.
Pour ce faire, l’Angola encourage les investissements étrangers, nécessaires à la prospection comme à l’extraction.
Reportage audio diffusé sur RFI à ce sujet, journaliste : Estelle Maussion