Futur projet angolais

"Zona Costeira de Corimba". C’est le nom d’un projet. C’est surtout le nom d’un projet pharaonique dont l’objectif est de montrer à toute l’Afrique, et même au-delà, l’eldorado qu’est devenu l’Angola.

Ce vaste plan de reconstruction de toute la zone côtière, située au sud de la capitale angolaise, s’étend du quartier populaire de la Camuxiba jusqu’à l’île de Mussulo, près de 30 kilomètres plus loin. Sur toute cette zone, il est prévu de construire  un ensemble d’habitats moyen et haut de gamme, mais aussi tout ce qui est susceptible d’attirer les touristes : discothèques, restaurants de luxe, casinos, plages de rêve… Bref, une authentique marina neuve et clinquante, bling-bling.

Bonga fait chevalier de l’Ordre des arts et des lettres par la France

Mercredi 10 décembre, le musicien Bonga a été décoré de l'ordre de Chevalier des Arts et des Lettres par l'Ambassadeur de France. Cette distinction consacre plus de 40 ans de carrière artistique.

Âgé de 72 ans, auteur et interprète de musique traditionnelle angolaise, Bonga qui a atteint le summum de sa carrière internationale dans les années 1980 fut le premier artiste africain à se produire en solo pendant deux jours consécutifs au Coliseu dos Recreios à Lisbonne (4.000 places). Si la France est le pays qui lui a ouvert les portes et le français la langue utilisée pour sa première œuvre discographique en 1975, il ne faut pas perdre de vue que c’est au Portugal que ses gros succès populaires Mariquinha et Currumba ont été propulsés. Un paradoxe.

Quels sont ces mystérieux monticules sous-marins au large de l'Angola ?

Plus de deux mille monticules d'asphalte abritant une multitude de créatures ont été découverts à deux kilomètres de profondeur, au large des côtes de l'Angola.

Des dizaines de monticules dont la taille varie entre celle d'un ballon de foot et plusieurs centaines de mètres de diamètre ont été découverts sur les fonds marins. Ils sont composés d'asphalte, la même substance qui recouvre les routes, et proviennent de volcans bitumineux qui recrache des hydrocarbures. C'est la première fois qu'on en découvre dans cette partie de l'Atlantique.

http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20141107.OBS4455/quels-sont-ces-mysterieux-monticules-sous-marins-au-large-de-l-angola.html?xtor=RSS-24

Le Medef signe un accord avec l’organisation angolaise Lide

Voici le bilan de la mission de trois jours du Medef international en Angola, qui s’est terminée jeudi 06 novembre 2014. Une délégation de chefs d’entreprises françaises était à Luanda entre le 04 et jeudi 06 novembre 2014.

Elle a rencontré le ministre des Relations Extérieures angolais et des représentants de sociétés locales.

L’objectif : renforcer la coopération économique entre la France et l’Angola, après la visite du président dos Santos à Paris en avril 2014.

http://aucomptoirangolais.wordpress.com/2014/11/07/le-medef-signe-un-accord-avec-lorganisation-angolaise-lide/

L'investissement de la France en Angola est de plus de 10 milliards d'euros

L'investissement direct de la France en Angola dépasse 10 milliards d'Euros, a fait savoir mardi 04 novembre 2014, à Luanda, le ministre angolais des Relations extérieures, Georges Chikoti. Recevant, à Luanda, une délégation d'hommes d'Affaires française en visite en Angola, le chef de la diplomatie angolaise a affirmé que la France était le 3ème grand investisseur en Angola, et que la compagnie pétrolière "Total" était un bon exemple d'investissement étranger.

Selon Chikoti, l'investissement direct de la France en Angola font de Paris le 6ème grand fournisseur de ce pays africain.

L'avantage de la France c'est d'être au service de la reconstruction nationale en Angola, de créer une économie périphérique qui contribue au développement de petites et moyennes entreprises et à la mise en place de partenariats public et privé.

Prospecter le marché angolais et signer des partenariats sont les objectifs de la délégation composée des représentants de quelque 60 entreprises françaises.

Les objectifs du gouvernement angolais, dans le cadre d'investissement pour le développement national, a ajouté Georges Chicoti, donnent priorité à la diversification de l'économie, notamment dans les secteurs de la Construction d'Infrastructures routières, ferroviaires, portuaires et aéroportuaires.

L'Agriculture, l'Energie et Eaux, la Santé, l'Education, le Transfert de Technologies et de Connaissances, la Formation de Cadres, à divers niveau, la Géologie et Mines, le Pétrole et ses dérivés sont d'autres secteurs prioritaires pour le développement national, a souligné le ministre.

Une autre priorité du Gouvernement, a-t-il poursuivi, c'est la relance de l'Industrie nationale, dans son ensemble, ce qui a déjà donné lieu à la création de la Zone Economique Spéciale Luanda-Bengo, et d'autres qui seront mises en place, à court et à long termes, dans d'autres provinces du pays.

La réunion entre le ministre Chikoti et les hommes d'Affaires français a eu lieu en présence de la secrétaire d'Etat à la Coopération Angela Bragança et de l'ambassadeur français à Luanda, Jean-Claude Moyret.

Lors de sa dernière visite officielle à Paris, le président angolais, José Eduardo dos Santos et son homologue français, François Hollande avaient, tous deux, manifesté le souhait de consolider la coopération entre les deux pays.

Angola Cables

La société Angola Cables a confié au japonais NEC Corporation la construction d'un câble sous-marin reliant le pays d'Afrique australe au Brésil. Premier câble de télécommunication de ce type à traverser l'Atlantique Sud, son coût est estimé à 160 millions de dollars.

Durant le dernier trimestre 2016, un câble sous-marin transmettra directement et pour la première fois des données entre l'Amérique latine et l'Afrique. C'est l'engagement pris par Angola Cables.

La compagnie, créée par cinq principaux opérateurs télécoms de l'Angola, a annoncé dans un communiqué publié le 4 novembre avoir signé un accord avec le groupe japonais NEC Corporation pour la construction d'un câble de télécommunications entre la ville de Sangano, située à 120 kilomètres de la capitale Luanda, et Fortaleza, au Brésil.

Interconnexions

Plus encore, la station d'atterrissement du système de câble de l'Atlantique Sud (SACS) est également celle du WACS (West Africa Cable System), qui relie l'Afrique du Sud au Royaume-Uni en longeant onze pays situés sur la façade atlantique du continent.Ce câble, dont l'installation devrait débuter avant la fin de cette année, disposera d'une capacité pouvant atteindre 40 téraoctets par seconde (4 paires de fibres optiques de 100 longueurs d'ondes pouvant transmettre jusqu'à 100 giga-octets par seconde). Il demandera 160 millions de dollars d'investissement selon Angola Cables et sera le premier à traverser l'Atlantique Sud.

Aussi, l'interconnexion entre ces câbles devrait considérable accroître la capacité et la vitesse de transmission de données ces pays et l'Amérique latine. Et même les États-Unis, à terme, lorsque le Cable of The Americas (COTA) que construit NEC Corporation et qui doit relier Santos et Fortaleza au Brésil à Miami en Floride, sera achevé.

Autoroute de l'internet

"La mission d'Angola Cables est de faire de l'Angola l'une des principales plaques tournantes des télécommunications en Afrique. Ce nouveau câble sous-marin, avec nos autres projets, contribuera à améliorer la connectivité entre l'Angola et l'Afrique latine ainsi que l'Amérique du Nord. Nous allons continuer à développer ces autoroutes de l'internet pour permettre à nos clients (opérateurs télécoms, fournisseurs d'accès à internet et entreprises) de marquer leur différence sur le marché africain, aujourd'hui si concurrentiel et évolutif", a affirmé dans un communiqué António Nunes, son directeur général.

Lancé en 2009, Angola Cables est détenu à 51 % par l'opérateur télécoms public Angola Telecom et à 31 % par Unitel. MStelcom, filiale de la compagnie pétrolière nationale Sonangol, détient 9 % de son capital, le fournisseur d'accès à l'internet sans-fil Movicel 6 % et l'opérateur de téléphonie fixe Startel 3 %.

http://angolacables.co.ao/

José Arnaldo, Mister Afrique International 2014

L'Angola remporte pour la première fois le concours international masculin. 

Mister Angola 2014, José Arnaldo, représenté l'Angola au concours "Mister Afrique Internationale 2014" qui a eu lieu samedi 01 novembre 2014 à Londres.

L’Angola travaille son image internationale

Le jeudi 16 octobre 2014, l’Angola a été élu membre non-permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU. Avec le Venezuela, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande et l’Espagne, le pays prendra sa fonction au début de l’année prochaine pour deux ans. C’est une grande victoire pour la diplomatie angolaise, qui faisait campagne depuis longtemps pour cette place. Cette élection est le résultat d’une stratégie du pays pour changer son image sur la scène mondiale.

http://aucomptoirangolais.wordpress.com/2014/10/21/langola-travaille-son-image-internationale/

Portrait d’un banquier belge engagé en Angola

Reportage sur une association luttant contre l’hydrocéphalie. Cette maladie, qui provoque une « grosse tête » chez les enfants, est fréquente en Angola. L’association en question, appelée EFFA, a été créée par un banquier belge travaillant depuis des années avec l’Angola. Après la lutte contre l’hydrocéphalie, l’association voudrait développer d’autres actions dans le domaine de la formation et de la culture notamment. Rencontre avec son fondateur, un banquier au grand coeur.

https://aucomptoirangolais.files.wordpress.com/2014/10/2014-10-17-011-portrait-d-ribant.pdf

ONU : l'Angola élu membre non permanent du conseil de sécurité

Cinq nouveaux membres non permanents du Conseil de sécurité des Nations ont été élus jeudi 16 octobre 2014. Parmi eux, un pays africain, l'Angola, accompagné de la Nouvelle-Zélande, du Venezuela, de la Malaisie et de l'Espagne.

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20141016180706/

Recensement 2014

L'annonce a été faite mercredi 16 octobre 2014 par le président lors de l'ouverture de l'année parlementaire. Le pays compte officiellement plus de 24 millions d'habitants selon le recensement réalisé en mai dernier.

http://aucomptoirangolais.wordpress.com/2014/10/16/langola-compte-243-millions-dhabitants/#more-2034

L'Angola peut-il aller au-delà de l'or noir?

En une décennie seulement, le pays s'est relevé de trente années de guerre fratricide. Grâce au pétrole, il a atteint la plus forte croissance au monde et attire à nouveau les investisseurs. Agriculture, infrastructures... Luanda saura-t-il diversifier son économie ?

http://economie.jeuneafrique.com/entreprises/entreprises/energie/23200-angola-au-dela-de-lor-noir-.html

L'Angola procède à une hausse de 25% du prix du carburant

L'Angola, deuxième producteur de pétrole du continent africain, a décidé d'augmenter de 25 % le prix du carburant, une première depuis quatre ans.

http://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/afp-00612612-langola-procede-a-une-hausse-de-25-du-prix-du-carburant-1047315.php

FMI, prévision d'un croissance de 7% en 2015

Restée longtemps dépendante du secteur pétrolier, l’économie angolaise connaît une certaine diversification depuis quelques temps. De l’avis des experts du FMI elle serait de nature à favoriser la croissance économique du pays.

http://fr.africatime.com/articles/fmi-angola-prevision-dune-croissance-de-7-en-2015

La voie de la reconnaissance internationale

L’Angola voit-elle enfin la lumière au fond du tunnel ? Des siècles d’occupation portugaise, suivis de presque trois décennies _ 27 ans _ d’une lutte fratricide au moment de son indépendance. En plein essor économique, le monde entier lorgne désormais sur ses ressources naturelles ; sans doute, un moment propice pour asseoir une reconnaissance internationale ?

http://news.abidjan.net/h/510896.html

Hydrocarbures : l'Afrique est devenue un acteur important

Hydrocarbures : l'Afrique est devenue "un acteur de stature mondiale", selon PwC.

Dans 'Africa Oil & Gas review - On the brink of a boom' ('À deux doigts d'un boom'), le cabinet de conseil international PricewaterhouseCoopers montre l'évolution positive de la perception qu'ont les acteurs économiques du secteur des hydrocarbures en Afrique.

http://economie.jeuneafrique.com/entreprises/entreprises/energie/22969-hydrocarbures-lafrique-est-devenue-qun-acteur-de-stature-mondialeq-selon-pwc.html

Expatriés : pourquoi les villes les plus chers du monde sont en Afrique

http://www.lefigaro.fr/societes/2014/07/13/20005-20140713ARTFIG00057-expatries-pourquoi-les-villes-les-plus-cheres-du-monde-sont-en-afrique.php

La reine en visite à la baie de Luanda

Histoire de la Reine Nzinga :

http://lesmarrainesdeluanda.blogspot.com/2013/10/reine-nzinga-1587-1663.html

Luanda et N'Djamena sont les villes les plus chères du monde pour les expatriés en 2014

http://www.agenceecofin.com/economie/1007-21445-luanda-et-n-djamena-sont-les-villes-les-plus-cheres-du-monde-pour-les-expatries-selon-le-cabinet-mercer

L’Angola et le défi du capital humain

Depuis le retour de la paix, il y a douze ans, l’Angola a de nombreux défis à relever. Reconstruire ses infrastructures a été le premier et les progrès dans ce domaine sont spectaculaires. Reste aujourd’hui à diversifier une économie centrée sur le pétrole afin de développer une industrie, de refaire partir une agriculture autrefois florissante… Et d’employer une main d’oeuvre nationale qui, pour le moment, à du mal à faire face au chômage. Cette nécessité a donné lieu à une politique publique d'angolanisation", notamment appliquée dans le secteur pétrolier. Comment cela fonctionne-t-il ? Est-ce que cette politique est la clé du succès ?

Eléments de réponse avec cet article publié lundi 3 mars 2014 dans le quotidien La Croix :
http://aucomptoirangolais.files.wordpress.com/2014/03/angolanisation-2014-03-03-012.pdf